Ressources documentaires

La Revue trimestrielle de la Direccte, destinée aux agents de ses services et à leurs partenaires privilégiés, présente la conjoncture socio-économique dans laquelle sont mis en

oeuvre les dispositifs relatifs à ses missions :

• Développement des entreprises et de l’emploi
• Amélioration de la qualité du travail et des relations sociales, respect du droit dutravail
• Respect des règles de la concurrence, de la consommation et de la métrologie légale

Les indicateurs utilisés sont issus de sources de données propres à la Direccte mais empruntent également à des sources produites par ses partenaires extérieurs tels que ; Insee, Pôle Emploi, Banque de France …etc.

La revue présente également une analyse (sectorielle, territoriale, …) ou une action portée par les services dans les trois pôles de la Direccte (Pôle 3 E : entreprises, économie, emploi - Pôle T : application de la réglementation du travail - Pôle C : concurrence, consommation, métrologie).

Le Comité Interministériel de la Jeunesse (CIJ) qui s’est réuni le jeudi 21 février 2013 sous la présidence du Premier ministre Jean-Marc Ayrault, a conduit à l’adoption de 47 mesures concrètes, élaborées pour répondre aux attentes des jeunes en matière d’action publique.

Alarmée par la féminisation grandissante de la pauvreté, la délégation aux droits des femmes et à l’égalité invite les Pouvoirs publics à agir, aussi bien à court qu’à moyen terme.

Après avoir analysé les spécificités féminines potentiellement vectrices de précarité au regard de l’emploi et mis en évidence l’impact des situations précaires tout au long de la vie des intéressées, l’étude souligne le risque de précarisation accentué auquel sont confrontées les mères de familles monoparentales.

Les pistes d’action ouvertes par la délégation s’articulent autour de deux axes : celui de la prévention de la précarité en luttant sans relâche, dès le plus jeune âge, contre les inégalités entre les filles et les garçons et celui de l’ouverture de perspectives d’insertion sociale et professionnelle garantissant des conditions de vie dignes aux femmes concernées.

Alarmée par la féminisation grandissante de la pauvreté, la délégation aux droits des femmes et à l’égalité invite les Pouvoirs publics à agir, aussi bien à court qu’à moyen terme.

Après avoir analysé les spécificités féminines potentiellement vectrices de précarité au regard de l’emploi et mis en évidence l’impact des situations précaires tout au long de la vie des intéressées, l’étude souligne le risque de précarisation accentué auquel sont confrontées les mères de familles monoparentales.

Les pistes d’action ouvertes par la délégation s’articulent autour de deux axes : celui de la prévention de la précarité en luttant sans relâche, dès le plus jeune âge, contre les inégalités entre les filles et les garçons et celui de l’ouverture de perspectives d’insertion sociale et professionnelle garantissant des conditions de vie dignes aux femmes concernées.

La seconde édition du panorama de l'économie sociale et solidaire (ESS) en Midi-Pyrénées apporte les données structurelles à fin 2010 concernant le poids de l'ESS dans le tissu entrepreneurial de notre région, les caractéristiques de ses établissements, ses salariés et ses activités, ainsi que son évolution dynamique.

Nés dans les années 2010, ils auront 20 ans en 2030.

Combien sont-ils ? Dans quels types de familles voient-ils le jour ? Quelles sont les ressources de leurs parents ? Dans quels contextes actuels évoluent-ils ?

Cette publication commune CAF 31 et AUAT analyse la situation des enfants et des familles dans l'aire urbaine de Toulouse. Ce document constitue une première approche afin de mieux connaitre ces enfants et leur environnement familial et économique et vise à proposer aux différents acteurs de la ville des éléments de réflexion susceptibles d'orienter les politiques publiques.

6 pages Insee (n°147) publié en février 2013

En Midi-Pyrénées, plus de 136 000 personnes vivent dans un quartier prioritaire de la politique de la ville.

Parmi les 57 quartiers sélectionnés à partir de leurs difficultés économiques et sociales, figurent 14 zones urbaines sensibles généralement en grand décrochage par rapport à leur environnement. Les autres quartiers prioritaires sont dans des situations plus hétérogènes : à des quartiers en fort contraste avec leur environnement, surtout lorsque les villes sont riches, s’opposent des quartiers aux caractéristiques plus variées.

Ce document établi à partir des données de l'Agence du service civique a été diffusé lors de la journée régionale de rassemblement des volontaires organisée le 16 novembre 2012.

En Midi-Pyrénées, depuis la mise en place du dispositif jusqu'à fin août 2012, 1357 jeunes volontaires entre 16 et 25 ans se sont engagés pour le service civique.

Au 1^er janvier 2009, Midi-Pyrénées compte 2 863 000 habitants. Au cours des dix dernières années, la population s'est accrue de 310 000 personnes, soit un rythme annuel de croissance de + 1,2 %, l'un des plus rapides de métropole. Cette dynamique est essentiellement due à l'arrivée de population dans la région, notamment autour de la capitale régionale. La population est plus âgée en moyenne que dans l'ensemble de la métropole : 41,4 ans contre 39,6 ans en 2009. Par conséquent, les actifs y sont moins nombreux qu'en France métropolitaine : ils représentent 56 % de la population de 15 ans ou plus (contre 58 %). Midi-Pyrénées a encore un caractère très agricole. La proportion d'établissements dans ce secteur, le plus souvent de petite taille, est presque deux fois plus importante qu'en métropole. Tous secteurs confondus, la région emploie fin 2009 près de 1,2 million de salariés et non salariés. Entre 1999 et 2009, Midi-Pyrénées compte un solde net de 129 800 emplois supplémentaires en dix ans (+ 12 % contre + 7 % en métropole), et ce malgré la crise économique et financière.

En Midi-Pyrénées, les femmes ont, en moyenne, moins d'enfants que l'ensemble des Françaises. Comme dans le Sud-Ouest ou dans le Nord-Est, la fécondité y est plus faible qu'au niveau national. Elle augmente cependant depuis le milieu des années 90, et l'écart se réduit légèrement. Les femmes accouchent aujourd'hui plus tard, à plus de 30 ans en moyenne. C'est particulier vrai en Haute-Garonne, où les femmes diplômées et actives sont plus nombreuses qu'ailleurs. Le Tarn-et-Garonne constitue au contraire une exception dans tout le Sud-Ouest, avec une fécondité élevée et un âge moyen à l'accouchement plus bas.