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Le groupe de travail «indicateurs sociaux départementaux» constitue l’une des suites du colloque organisé le 23 janvier 2008 à Nantes par le Cnis, l’Assemblée des départements de France (ADF) et le Conseil général de Loire Atlantique sur le thème «Connaître pour agir, quelle information statistique construire et partager au service des politiques de solidarité ?». Le groupe devait prendreen compte le besoin important «d’une information adaptée sur la mise en œuvre et l’impact des politiques publiques et le suivi des objectifs fixés par la loi ». Le mandat du groupe de travail consistait à définir un système partagé entre les échelons centraux et départementaux» autour des quatre principaux domaines de l’action sociale départementale :

• personnes âgées dépendantes ou en risque de dépendance;
• enfance et jeunesse en danger;
• minima sociaux et insertion;
• personnes handicapées.

Après un bref avant-propos sur le mandat et les méthodes du groupe de travail, le rapport présente ses conclusions et propositions sur trois points :

• les concepts et nomenclatures du mal-logement ;
• l'amélioration nécessaire des sources statistiques disponibles ou en voie de constitution, au niveau national et local ;
• les enquêtes expérimentales et études qualitatives préalables à une amélioration des statistiques.

La DREAL Midi-Pyrénées et la direction régionale de l'INSEE se sont associées pour réaliser un diagnostic sur la situation du logement en Midi-Pyrénées. Fruit de cette collaboration, ce dossier présente les caractéristiques du parc du logement et de ses occupants. Il met en évidence les grandes évolutions du parc de résidences principales sur les différents territoires de la région, à la lumière du dynamisme démographique récent. Il apporte un éclairage sur les caractéristiques sociales des ménages en fonction du parc occupé : maisons ou appartements, parc locatif privé ou social et propriétaire. Il s'attache à décrire les spécificités du parc de résidences secondaires et celui des logements vacants selon les territoires et leurs évolutions.

La problématique des maternités à moins de 21 ans est au carrefour des enjeux sociaux et de santé. La fréquence de ces maternités est suffisamment importante dans la région Languedoc-Roussillon pour que la POSS-LR dont le rôle est de produire de la connaissance permettant d’éclairer les politiques publiques mises en œuvre par ses partenaires s’empare de ce sujet au niveau local. Ainsi cette étude vise à décrire les conséquences d’une maternité à moins de 21 ans sur le parcours de formation et d’insertion des jeunes mères, sur la construction de la parentalité et les relations familiales. Elle aborde les aides dont elles ont pu bénéficier, celles dont elles auraient eu besoin compte tenu de leur âge et ce, à chaque temps de leur grossesse : l’annonce de la grossesse, son suivi, le retour à domicile après l’accouchement et l’insertion.
Outre la réalisation d’une revue statistique régionale à par essée à 3 générations de mères allocataires qui ont eu un enfant précocement (enfant né en 1995 ou 1996 ; enfant né en 2004 ou 2005 ; enfant né en 2007 ou 2008).

La problématique des maternités à moins de 21 ans est au carrefour des enjeux sociaux et de santé. La fréquence de ces maternités est suffisamment importante dans la région Languedoc-Roussillon pour que la POSS-LR dont le rôle est de produire de la connaissance permettant d’éclairer les politiques publiques mises en œuvre par ses partenaires s’empare de ce sujet au niveau local. Ainsi cette étude vise à décrire les conséquences d’une maternité à moins de 21 ans sur le parcours de formation et d’insertion des jeunes mères, sur la construction de la parentalité et les relations familiales. Elle aborde les aides dont elles ont pu bénéficier, celles dont elles auraient eu besoin compte tenu de leur âge et ce, à chaque temps de leur grossesse : l’annonce de la grossesse, son suivi, le retour à domicile après l’accouchement et l’insertion.
Outre la réalisation d’une revue statistique régionale à par essée à 3 générations de mères allocataires qui ont eu un enfant précocement (enfant né en 1995 ou 1996 ; enfant né en 2004 ou 2005 ; enfant né en 2007 ou 2008)

Dans un contexte marqué par la volonté d’améliorer les conditions d’entrée en institution ou de favoriser le maintien à domicile, l’étude «Les facteurs déclenchant l’entrée en EHPAD : état de la connaissance bibliographique et situation en Languedoc Roussillon » a pour objectif d’identifier les raisons de l’entrée en EHPAD en prenant en compte les spécificités du Languedoc Roussillon et de recenser les initiatives locales mises en œuvre pour mieux préparer ou retarder le moment de cette entrée en institution. 

Une étude de la littérature existante ainsi qu’une enquête auprès de professionnels d’EHPAD (questionnaire sur les résidants et entretien direct) en Languedoc Roussillon ont été réalisées afin d’obtenir des informations sur les raisons de l’entrée en EHPAD.

Enfin une enquête auprès d’institutions comme les Conseils Généraux, les CLICS et CCAS, a permis de recueillir un certain nombre d’actions innovantes qui se sont révélées essentiellement tournées vers le maintien à domicile mais jamais des actions autour de la préparation de l’entrée en institution ou de son amélioration. A la suite de cet inventaire, quelques éléments de réflexion ont été conduits autour d’actions à développer. En termes de prévention, de communication/information des familles et des professionnels et de solutions d’hébergement intermédiaire entre le domicile et l’hébergement en EHPAD. 

Le centre languedocien d'étude et de formation en gérontologie, Géronto CLEF a mené cette étude en 2010.