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Vers une société numérique pleinement inclusive - Jeunes en démarche d’autonomie
Dans le cadre du Labo « Numérique et inclusion », l’Agence nouvelle des solidarités actives (Ansa) a favorisé la rencontre d’experts du numérique issus des secteurs publics, privés et associatifs lors de trois ateliers dont l’objectif était d’échanger sur les enjeux et les défis de l’inclusion numérique aujourd’hui.
Les échanges issus de ces rencontres ont été complétés par les retours des personnes directement concernées par les usages et le recours croissant aux services numériques, lors de focus group sur
la question de l’inclusion numérique des jeunes en démarche d’autonomie. Ainsi, des jeunes de la Mission Locale de L’AigleMortagne au Perche, dans l’Orne, ont pu exprimer leur ressenti face à l’émergence du numérique dans leur vie quotidienne, et faire part de leur expertise pratique.
Ce cahier est ainsi le produit des réflexions conjointes menées dans ces deux cadres. Il tente de faire dialoguer expertise technique et expertise d’usage, afin de tirer des enseignements et de faire émerger plusieurs pistes d’actions.
Vers une société numérique pleinement inclusive - Familles monoparentales et femmes en situation de fragilité
Dans le cadre du Labo « Numérique et inclusion », l’Agence nouvelle des solidarités actives (Ansa) a favorisé la rencontre d’experts du numérique issus des secteurs publics, privés et associatifs lors de trois ateliers dont l’objectif était d’échanger sur les enjeux et les défis de l’inclusion numérique aujourd’hui.
Les échanges issus de ces rencontres ont été complétés par les retours des personnes directement concernées par les usages et le recours croissant aux services numériques lors de focus groups, pour leur permettre d’exprimer leur ressenti face à l’émergence du numérique dans leur vie quotidienne, et faire part de leurs expertises pratiques.
Ce cahier est ainsi le produit des réflexions conjointes menées dans ces deux cadres, permettant de tirer des enseignements et de faire émerger plusieurs pistes d’actions.
Vers une société numérique pleinement inclusive - Synthèse du Labo de l’Ansa « numérique et inclusion »
Entre juillet et novembre 2017, l’Agence nouvelle des solidarités actives (Ansa) a réuni un ensemble d’acteurs œuvrant sur le champ du numérique et sur le champ de l’action sociale dans le cadre d’un Labo de l’Ansa dédié à la thématique de l’inclusion numérique.
Le croisement de regards et de compétences proposé par ce labo visait à établir une connaissance commune et partagée de cette question, en mêlant à la fois des expertises techniques de professionnels
du numérique, des expertises d’usages d’acteurs du champ social, ainsi que des expertises pratiques des personnes concernées.
Cette fabrique de connaissances est apparue nécessaire, dans une période de foisonnement d’initiatives souvent assez mal identifiées, tant pour alimenter chaque acteur dans ses réflexions et actions concrètes que pour faciliter les coopérations créatives entre acteurs.
Cette note de synthèse a pour objet de présenter les grandes conclusions qui ont émergé au cours du labo afin de les partager avec l’ensemble des acteurs concernés.
Programme Régional d'Accès à la Prévention et aux soins Occitanie 2018-2022
Les Programmes Régionaux d’Accès à la Prévention et aux Soins (PRAPS), partie intégrante du Projet
Régional de Santé (PRS), constitue pour l’ARS la feuille de route pour permettre aux personnes les plus éloignées de notre système de santé d’y accéder.
La cinquième génération de « PRAPS » constitue un enjeu fort pour la nouvelle région Occitanie afin de répondre aux besoins des populations, au plus près de leurs lieux de vie, en prenant en compte la disparité des territoires ainsi que la précarité très présente dans certains départements.
Nés sous la même étoile ? Origine sociale et niveau de vie
Où en sommes-nous du déterminisme social en France ? Plus précisément, dans quelle mesure l’origine
sociale détermine-t-elle le niveau de vie des individus ? La statistique publique a récemment enrichi
l’information qu’elle produit pour suivre les trajectoires individuelles, ce qui permet de revisiter
cette question classique. Sur la base d’un échantillon de population née en France et âgée de 27 à
44 ans, on étudie ici comment le niveau de vie des personnes varie selon la profession de leur père.
Les jeunes et l’information - Synthèse du rapport d'étude
Dans un contexte de profondes transformations des modes de production, de diffusion et de consommation de l’information, la Direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC) du ministère de la Culture a souhaité disposer d’un diagnostic approfondi sur les pratiques de consommation de l’information par les jeunes générations (15-34 ans). Pour ce faire, elle a confié le soin à Médiamétrie de produire une analyse de ces pratiques.
L’étude constate que les jeunes sont plus équipés en terminaux mobiles que la moyenne (les 15-34 ans sont 89,9 % à détenir un smartphone, contre 69,2 % des 15 ans et plus) et davantage connectés (97 % des 15-34 ans ont accès à Internet, contre 93% de l’ensemble de la population).
Les jeunes sont d’importants consommateurs de contenus d’information en mobilité. Ils font en particulier un usage intense des réseaux sociaux.
Elle démontre aussi les effets bénéfiques et pérennes de l’éducation aux médias et à l’information (EMI) sur les comportements informationnels des jeunes. 34% des jeunes de 15-34 ans déclarent avoir bénéficié d’une action d’EMI dans le cadre scolaire (expériences de création de médias, séances de visionnage et de décryptage de vidéos d’information, participation à la semaine de la presse et des médias à l’école…).
Les bénéfices d'une meilleure autonomie numérique
14 millions de Français, soit 28 % de la population, sont éloignés du numérique. Un véritable handicap dans un contexte de numérisation croissante des activités. Commandé à France Stratégie par le secrétaire d’État chargé du Numérique, Mounir Mahjoubi, ce rapport identifie et quantifie les bénéfices d’une meilleure maîtrise des outils numériques par la part de la population française qui ne les utilise pas dans la vie courante.
Lutter contre la pauvreté des familles et des enfants - Note de synthèse
Le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge, par l’intermédiaire de son Conseil de la famille, a inscrit à son programme de travail la question suivante : « Comment lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale des familles et des enfants, et réduire les inégalités ? ».
Il s’agit d’une part d’identifier les caractéristiques des familles pauvres ou en risque d’exclusion sociale, et les difficultés auxquelles elles sont confrontées ainsi que leurs enfants, et d’autre part d’interroger les politiques publiques conduites pour lutter contre la pauvreté et le risque d’exclusion sociale et contre leurs conséquences. Le Président de la République a décidé, le 17 octobre 2017, d’engager l’élaboration d’une stratégie nationale de lutte contre la pauvreté. Cette stratégie est actuellement portée Olivier NOBLECOURT, nommé Délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes. L’objectif des travaux du Conseil de la famille est d’apporter une contribution à cette stratégie et aux débats sur la lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale et de soumettre des pistes pour améliorer la situation des familles pauvres ou en risque d’exclusion sociale.
Définir les situations de travail transversales pour accompagner les mobilités professionnelles
De nombreux travaux insistent aujourd’hui sur l’importance croissante des compétences dites « transversales », définies comme des compétences génériques mobilisables dans diverses situations de travail. Pour autant, dans la pratique, les travailleurs comme les employeurs ont du mal à définir ces compétences et, surtout, à les objectiver et en faire un véritable signal d’employabilité sur le marché du travail.
Perte d’autonomie des personnes âgées : les limitations motrices au premier plan
En Occitanie, un habitant de 60 ans ou plus sur dix vivant à domicile s’estime en mauvaise ou très mauvaise santé en 2014. L’état de santé se détériore avec l’âge, de façon très marquée après 85 ans et s'accompagne de limitations essentiellement motrices.
Au regard des différentes difficultés qu’ils rencontrent dans leur vie quotidienne, 7 % des 60 ans ou plus sont considérés en perte d’autonomie, soit 106 000 personnes. La plupart d’entre eux bénéficient à la fois d’une aide professionnelle ou technique et d’une aide de leur entourage.